... Dans les textes réunis dans Ce nom qui n'est pas le mien (1980), la romancière parle aussi de son enfance, d'expériences et de souvenirs personnels, mais elle s'exprime surtout sur la littérature, sur ses débuts et les raisons du choix d'un pseudonyme, sur le travail mystérieux de la création, sur la place des femmes dans le monde des lettres ; à une admirable évocation de Ramuz s'ajoute un portrait de la romancière Alice Curchod...
Alain Saintagne s'ennuie auprès de sa femme Madeleine. Il ne supporte pas que son collègue, Fernand Lorenzo, semble courtiser Christine Auberson qu'il lui a présenté. Premier roman de l'auteure, paru en 1940.
Le récit d'une longue intimité entre une mère et une fille élevée à Lausanne puis à Genève. Un roman qui relate aussi la dépendance d'une fille à l'égard de sa mère puis l'acte libérateur de l'écriture à la mort de la mère.
Trois soirées de l'hiver 1928 font basculer la vie d'un homme de la latence dans l'amour fou et enfoncent dans le désespoir la femme qui avait cru en lui sept ans plus tôt.
"Longtemps le visage maternel se posa sur mes yeux pour les fermer à tout ce qui n'était pas lui." Un récit romancé d'une enfance sur le thème de l'amour maternel.
Oeuvre intime et féministe publiée en 1947, ce roman déploie l'intime pensée d'une jeune femme piégée dans son mariage. Au fil des pages de son journal et de discussions avec d'autres femmes, collègues ou amies, qui expérimentent différentes situations amoureuses, Jeanne apprend à voir le monde hors des traditions auxquelles elle s'est consciencieusement consacrée tant qu'elle aimait son mari.